922 letters of Mgr. Melchior de Marion Brésillac. The original letters were written in French. The collection has been published both in print and digital formats. This particular book is the translation of the previously published french version.
C’est en 1895 que l’Église catholique commence l’évangélisation de la Côte d’Ivoire. Jusqu’en 1911, ce sont des Préfets apostoliques qui dirigent cette Église naissante. Trois Préfets vont se succéder : Mathieu Ray, Alexandre Hamard et Jules Moury. Quelles consignes donnent-ils à leurs missionnaires ? Les circulaires qu’ils leur envoient permettent de répondre à cette question.
Lorsque le jeune abbé de Brésillac part rejoindre le Séminaire des Missions Etrangères, le 2 juin 1841, il quitte Castelnaudary sans revoir sa famille, car son père est opposé à ce départ. la première lettre qu'il lui enverra à Paris se termine par les lignes suivantes : Va, mon cher fils, va où le ciel te convie ; je reconnais la voix qui t'appelle. Qu'il te protège ; sois heureux ; je me soumet.
Ces lettres permettent de pénétrer l'atmosphère familiale dans laquelle a baigné Mgr de Brésillac jusqu'à son entrée au séminaire, une famille de l'aristocratie française ruinée par la Révolution, surtout si l'on n'oublie pas que c'est le papa, Gaston de Brésillac, qui assura l'éducation de ses deux aînés, Melchior et Henri.
Vous trouverez dans ce livre le texte de deux octaves (une instruction pendant huit jours de suite) données par Mgr de Brésillac à Naples et en France, après son retour de Coïmbatore, en 1854 et 1855. Chacune des instructions porte sur un sujet différent.
Ce livre comporte 49 sermons, ou prônes comme on le disait à l'époque, prononcés entre 1839 et 1859 sur des sujets divers ; il comporte également trois histoires pour les enfants du catéchisme, ainsi qu'une dizaine de petits textes, plutôt des brouillons, qui traitent de sujets religieux.
La retraite qu'il donna, en latin, aux séminaristes de Carumattampatty juste avant de s'en aller à Rome, manifeste un ample témoignage du grand amour qu'il portait dans son cœur pour les séminaristes. Cette retraite est basée sur les trois vertus théologales de "Foi, d'Espérance et de Charité" qui, à dire vrai, forment les vraies fondations de la vie spirituelle.
En janvier 1849, devait se tenir à Pondichéry un synode. Mgr de Marion Brésillac fut invité par Mgr Bonnand, vicaire apostolique, à participer aux commissions préparatoires au synode et à donner la retraite d'introduction. A ce moment-là, il était âgé de 36 ans et séjournait aux Indes depuis seulement 7 ans. Au terme de la retraite, les impressions furent positives, au moins celles des évêques.
Ces "Souvenirs de douze ans de mission", écrits pas Mgr de Brésillac en 1856, ne recouvrent en fait que la période comprise entre son départ pour les Missions Étrangères en 1842 et la retraite de Pondichéry en 1849. Pour la période comprise entre 1849 et 1854, voir "Le Journal d'un missionnaire".
Ce recueil contient toutes les lettres envoyées par Mgr de Brésillac et dont nous avons le texte intégral, ou tout au moins une partie du texte. Nous avons ainsi 931 lettres qui vont du 31 décembre 1833 (une lettre à son cousin Louis) au 19 juin 1859 (le post-scriptum d'une lettre à sa sœur Félicie écrite le 10 juin).
This book is of great practical value. It ought to be on the obligatory list of spiritual books for all preparing for priesthood. It will serve future priests well into their priestly lives and can be a good evaluation tool in on-going formation. All priesthood is a calling to be a servant for others.
Fachtna O'Driscoll SMA
Superior General Rome, November 2013
Documents relatifs à la fondation de la Société des Missions Africaines . Ce livre nous introduit à la période dite africaine de Mgr de Marion Brésillac. nous suivons pas à pas la conception, la naissance et la difficile croissance de la Société des Missions Africains, à travers les relations de Marion Brésillac avec ses deux correspondants privilégiés : le cardinal Barnabò et le Père Planque.
Suite à sa démission de vicaire apostolique de Coimbatore, Mgr de Marion Brésillac et à la demande du pape Pie IX, il envoie un rapport à la Sacré Congrégation de la Propagande sur les questions de l’Inde, spécialement sur la question spéciale des rites malabares, sur la mission de l’Église en Inde, sur les missions catholiques en général et sur l’état de la congrégation des Missions Étrangères.
Texte de Mgr de Marion Brésillac, fondateur des Missions Africaines en 1856.
D'après un manuscrit non daté, probablement rédigé au retour des Indes et avant la fondation proprement dite de la Société des Missions Africaines.Ce texte est divisé en 99 pensées.