Lorsque le jeune abbé de Brésillac part rejoindre le Séminaire des Missions Etrangères, le 2 juin 1841, il quitte Castelnaudary sans revoir sa famille, car son père est opposé à ce départ. la première lettre qu'il lui enverra à Paris se termine par les lignes suivantes : Va, mon cher fils, va où le ciel te convie ; je reconnais la voix qui t'appelle. Qu'il te protège ; sois heureux ; je me soumet.